Voilà le genre de disque qui vous fait dire qu'il ne faut pas trop abuser des bonnes choses au risque que ça foire un jour. Dans la lignée de Jeanne Mas ou de Stéphanie de Monaco, Romano Musumarra lance un blonde danoise Eva Rasmussen.
Pour épauler le truc, Didier Barbelivien participe à l'aventure et là, c'est le drame.
Le morceau est resté confidentiel, il faut dire que l'interprétation est proche du coma. En plus, cela sent bon l'énorme copie sur les précédenets productions Musumarra, le manque d'inspiration en d'autres termes. La pochette achève le tout avec une peluche panda, en espérant que ce ne soit pas un vrai.
Eva jetta l'éponge et ne fit qu'un disque en France. Il me semble l'avoir reconnu sur un site de yoga aujourd'hui, à vérifier néanmoins.