Agnès Saal a démissionné ( après le tapage fait rappelons-le sinon elle serait encore là ) de la présidence de l'INA ( glorieuse institution souillée ) pour avoir confondu ses affaires personnelles et l'argent public. On a parlé quand même de 40 000 € de frais de taxis personnels payés par l'argent du contribuable.
En d'autres lieux, ça s'appelle purement et simplement de l'usage frauduleux d'argent public.
Comme ce pays est merveilleux et fait la part belle aux indélicats en cravates ou tailleurs dans ce cas, Agnès Saal vient d'être recasée au Ministère de la Culture comme Chargée de Mission sur la gestion des emplois et des ( in ) compétences.
Nos gouvernants n'étant pas à une vomissure près, Fleur Pelllerin, ministre par erreur, justifie que la pauvre dame a déjà été bien sanctionnée en passant de présidente de l'INA à réintégrée dans un emploi d'obscur sous-fifre à réfléchir à l'évolution de postes de travail.
Si je suis élu en 2017, je ferai le ménage dans ce ramassis de sournois :
1.Même dans la fonction publique, on peut révoquer pour faute grave et si pomper 40 000 € d'argent public, c'est pas une faute grave !! Et même si la dame est haut fonctionnaire, aucune intransigeance surtout pour de la haute.
2.Silence impressionnant des syndicats de la fonction publique qui n'interviennent même pas dans cette affaire scandaleuse.
3.Tous ces condamnés ou ayant mérité de l'être deviendront sous ma présidence, des "Chargés de mission de mon cul". En gros, ils auront pour mission de voir une fois mon cul et d'être virés dans la minute qui suit. La révocation existe dans la fonction publique, elle sera appliquée à tous.
Je conseille à Agnès Saal de préparer dans son boulot sans intérêt de gestionnaire des emplois, de prévoir la suppression du sien en premier car j'arrive et ton emploi il sera liquidé en 2017.
Et de 400 000 € au Centre Georges Pompidou : là c'est plus la révocation, c'est la taule !
http://blogs.lexpress.fr/media/2015/06/23/saale/