Raretés et étrangetés, du bon au mauvais goût since 2008
10 Janvier 2018
Par un après-midi d'été pluvieux, j'ai revu un Aldo Maccione comme une madeleine de Proust. Un Aldo au sommet de son art en 1984 dans une histoire de paternité. Aldo ancien hippie barbu est confronté à son fils ( Riton Liebman ) trop sérieux à son goût et ne s'intéressant pas assez aux filles ( évidemment ). Mais une grande complicité vont leur permettre de se sortir d'aventures aussi bizarres les unes que les autres. Rajouter quelques nichons et même la foufoune de Sylvie Nordheim.
Pour moi, ce film n'est pas un nanard comme il a été très souvent classé. Il y a de vrais bons moments d'humour ( écriture de Wolinski ). Le film est aussi l'occasion de revoir Tchee, Charlotte Julian, Andréa Ferreol, Luis Régo, Catherine Lachens et cerise sur le grateau à la fin du film : la jeune Muriel Hermine ( la nageuse synchronisée ) en attachée de presse lesbienne.
Le générique a été confié à Aldo dans une petite chanson qui capte l'oreille. Si vous êtes dans le même trip que moi, je ne doute pas que vous revoyez, reverrez ce film avec tendresse ( bordel comme disait Schulmann le réalisateur d'Aldo et Junior ).