Pour celles et ceux qui n'étaient pas fans de notre Président par erreur et des catastrophes qu'ils nomment comme ministres, nous n'attendions rien de ce gouvernement de pantomines.
Depuis quelques mois, j'entends ici et là des gens dits de gauche être consternés par des décisions dignes de leurs pires ennemis. Un état d'urgence qui se prolonge, des décisions prises à la rien à foutre des syndicats ou du parlement, de tristes écologistes qui arrivent et puis les propositions de El Connerie qui dynamiteront le code du travail que même le nabot d'avant il avait pas osé.
La question se pose alors pour l'après : quand ces tanches auront quitté le pouvoir, il va quand même falloir marquer le coup et leur faire payer ? Les plus mécontents demandent des couilles sur un billot. On n'est pas des barbares comme dirait Popeck.
Je serai plus mesuré en proposant une mesure importante. J'offrirai ces gens à la vindicte du peuple de gauche comme des social-traîtres ( habile moyen de récupérer des voix de gauche ).
Et puis, ils seront enfermés, isolés du monde en leur faisant écouter en boucle l'ami Paulo De Domoy. Il y a des crimes qui méritent une sentence plus cruelle que la corde. Et bien entendu, pas de remise de peine.
Comptez sur moi pour une application immédiate.