Raretés et étrangetés, du bon au mauvais goût since 2008
5 Mars 2015
Parfois, dans les émissions de variétés des années 1970, il y avait une ou plusieurs grosses nullités à côté des classiques baroudeurs de l'époque.
Un exemple ici en 1978 avec une certaine Arlène Tempier. Blonde, joli minois mais une catastrophe ambulante qui n'ira pas plus loin dans la carrière musicale. C'est dommage car ce chef d'oeuvre fut écrit par Alain Souchon, le déprimé frisé pote de Voulzy.
Arlène se retrouvera après aux chiffres et aux lettres où il n'y avait pas besoin de chanter pour avoir le bon compte.