Raretés et étrangetés, du bon au mauvais goût since 2008
15 Juillet 2010
Benjamin Castaldi né le 28 Mars 1970 à Boulogne-Billancourt est un bel exemple de dégénérescence des gênes. En effet, quelle expérience fascinante de constater qu'on peut venir d'une lignée d'une magnifique comédienne et être soi-même un bouffon dont les grelots résonnent à chaque apparition. L'ascension sociale à l'envers direction la fosse septique.
J'ai croisé pour la première fois Benjamin lors de ses débuts chez Drucker. Loin de moi l'idée qu'il était pistonné dans un univers mieleux de cumulards mais force est de reconnaître qu'à l'époque il avait déjà une tête qui pouvait le confondre avec son fondement. S'il s'était accouplé avec Marie Drucker, ça nous aurait donné une belle brosse à reluire.
Depuis quelques années, Benjamin se spécialise dans la gestion des chiottes sur la première chaine. Mais attention ce sont des chiottes de divertissement à base de beaufitudes, de navritudes, de paires de plein de choses et du néant intellectuel. Se spécialiser dans les corvées de chiottes, ça laisse vraiment pantois, à se demander si notre ami n'aime pas l'odeur fétide et commander une armée de golmons qui un jour domineront le monde.
Benjamin se fait attaquer sur son propre terrain par une autre ex-stagiaire de chez Drucker : la Bollaert qui pleure devant Dorothée et là c'est le combat de titans. Qui a les plus belles chiottes ou les plus sales ? Benjamin a la classe, il a une longueur d'avance : il refusera qu'une fille se rase la tête dans ses chiottes par pudeur pour l'Histoire de France. C'est donc qu'il a été à l'école le bougre.
Allez Benji, je t'offre à toi aussi un tube de Sébastien.