J'avais eu la pudeur de ne pas évoquer le cas Hondelatte lors la sortie de son premier album. En effet, le journaliste allumé du bocal ( au sens navrant du terme ) nous avait sorti un magnifique nanard musical dont le ( presque ) cultissime Docteur House qui rimait avec Mickey Mouse.
L'accusé revient et visiblement on sombre dans le sado-maso du mec qui adore s'en prendre plein la gueule.
Le premier extrait "Cybernight" est à se tordre de rire Monsieur l'avocat général. C'est du délirium à perpétuité avec du sexe dans les toilettes du Rex en Latex. Hondelatte nous la tente décalé comme si son second album était l'album de la maturité, la maturité pour tomber de l'arbre sur lequel il est perché. Admirez les mimiques du faux chanteur rebelle qui se prend encore pour le plus grand parolier que la Terre ait connu. On attend très vite le second extrait pour sortir la cravache et les menottes.
Hondelatte fait de la brasse coulée pathétique, s'en étant même pris au grand Dave dans une émission pour créer une nouvelle fois le buzz autour de ses médiocres prestations. Je propose de lui coller du ferme, le sursis ça devient trop gentil.
BUZZOMETRE : 84 ( 02/12/2012 )