Raretés et étrangetés, du bon au mauvais goût since 2008
22 Mai 2010
Je ne nierai certainement pas la qualité slowesque de ce morceau qui fut un carton monumental au milieu des années 1970. Le groupe est italien et frappa un grand coup d'entrée avec ce titre qui fit le tour du monde et des plateaux de télévision.
Je ne reviendrai pas sur les tenues d'époque car certains d'entre vous vont me dire que je rabâche. Je ne m'en prendrai pas non plus au physique ordinaire de Pietro le chanteur car il a eu le mérite de faire danser des millions de femmes.
En fait, je souhaitais passer ce titre car à chaque fois que je l'entends, j'ai l'impression que ça dégouline de partout, comme si de la gelée coulait lentement le long des murs. C'est bizarre car je n'ai pas cette impression en écoutant un autre slow monstrueux "Whiter shade of pale" des Procol Harum. Si j'avais une catégorie "Ca dégouline", ils seraient en tête.
D'après le grand philosophe musical Henry-Jean Servat ( prochainement un article sur cet apôtre car il le mérite ), cela vient du fait que c'est un slow italien et donc qu'il faut que ce soit de la douceur à n'en plus finir.
Ce groupe ne fit plus grand chose après si ce n'est un autre titre plus ou moins connu "Monica".
Présents dans "les années bonheur" le Samedi 22 Mai, avec moumoute en prime.