Bon, pour sa dernière année à nous gaver, le Président par erreur semble être entré dans un jeu cruel : faire toujours pire qu'avant. Un remaniement qui ressemble à un énorme gag ou alors un suicide assumé de sombrer dans un océan de caca et de s'y noyer.
Rendez-vous compte : on augmente le nombre de ministres alors qu'on nous tannait sur les économies.
On nomme des écologistes alors qu'ils vous ont chié du compost dessus par tweets et autres. A peine nommée, la navrante Cosse nous rappelle déjà toute son opposition à des décisions du Président par erreur susnommé. Mettons peut-être à part le cas de Placé enfin gagnant dont la langue commençait à fatiguer de sucer. Du coup, c'est Fleur Pellerin la gagwoman de la Culture qui fait les frais du quota limité d'asiats dans une perspective socialiste. Et en plus, elle a manqué de sévanouir comme Lebranchu éjectée comme une malpropre.
Et puis, Fabius s'en va mais ayant refusé de s'occuper du don du sang, on le case au Conseil Constitutionnel pour de belles siestes en perspective. Il est vrai que le pauvre souffre de micro-coupures de la cervelle.
Ayrault qui veut dire pénis en arabe, revient après avoir été viré de Premier Ministre. Voilà un mec qui a de l'amour propre ou sale on ne sait plus.
Et finalement Manolo qui reste et qui va continuer à trimbaler sa face d'excité nous expliquant que le chômage va chuter.
Une belle bande de pingouins mais on le savait déjà. Alors, on va s'écouter le chanson phare des pingouins pour célébrer ce magnifique moment de nullité abyssale de gauche.