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FLORENCE FOREST JENKINS - QUEEN OF THE NIGHT

Je tiens à vous prévenir tout de suite : nous n'avons pas affaire ici à du disco ni à une quelconque reine des dancefloors. Nous nous téléportons plutôt au début du 20ème siècle une fois n'est pas coutume. Voici Florence Forest Jenkins une soprano américaine qui était une sorte de fake de l'époque avec ses massacres des plus beaux airs. Ses enregistrements sont quasiment insoutenables mais elle eut le mérite de persévérer pour une consécration au Carneggie Hall en 1944. Attention aux risques de saignements d'oreilles.


 



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R
<br /> Lettre virile à ma mémé molle<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Mémé,<br /> <br /> Voilà que tu as eu 80 ans cette année !<br /> <br /> Pour ce jour de l’an moi ton petit fils adoré je vais t’offrir le plus merveilleux cadeau que tu aies jamais reçu de ta longue existence<br /> : le cadeau de la vérité.<br /> <br /> Non tu vois ce genre de présent ça ne se mange pas, ça ne se pose pas sur le poste de télévision, ça ne s’accroche pas au rétroviseur<br /> intérieur des voitures et pas plus ne s’exhibe sur leur plage arrière.<br /> <br /> Ce don-là est infiniment plus précieux que ces stupidités auxquelles tu es accoutumée depuis tes 80 dernières années stérilement passées<br /> sur Terre à radoter sur le prix de la salade, la variabilité des saisons ou tes recettes de cuisine...<br /> <br /> Il te donnera une vision fulgurante des choses, t’ouvrira une porte salutaire dans ta pauvre tête de vieille débile que tu<br /> es.<br /> <br /> Comme tu l’auras remarqué, le ton de ma lettre est inattendu.<br /> <br /> Tu dois être surprise et même choquée car ces mots changent radicalement avec les sempiternelles imbécillités mielleuses, grotesques et<br /> navrantes que depuis trop longtemps tu as eu l’habitude de recevoir, que ce soit par la poste ou de vive voix. Non seulement de ma part mais surtout de la part des autres crétins qui te<br /> ressemblent.<br /> <br /> Grand-mère, j’estime que tu vaux mieux que cette image de vieille demeurée renvoyée en permanence autour de toi.<br /> <br /> Avec tes attentes matérialistes de retraitée frileuse mentalement sclérosée, culturellement lobotomisée, avec tes propos ineptes de<br /> sotte superstitieuse, tes réflexions indigentes d’ignare, ta coupable paresse intellectuelle, tu es toujours passée à mes yeux pour la reine des abruties... Le stéréotype parfait de la<br /> décrépitude intellectuelle.<br /> <br /> Mais aujourd’hui je veux te considérer comme un être humain avec ses glorieuses potentialités et non plus comme une loque cérébrale, une<br /> ânesse au ciboulot rétréci, cette image que tu t’es si bien ingéniée à me donner de ta piètre personne... Alors je te parle avec une vraie sincérité ici.<br /> <br /> Déjà, rends grâces au Ciel de ne pas m’avoir contaminé avec tes moeurs lamentables. A ton contact depuis tout petit j’aurais pu hériter<br /> en partie ou en totalité de ta misère intérieure. Tu te rends compte des dégâts que ton incommensurable bêtise aurait pu occasionner sur ma jeune âme ? Dieu merci, je n’ai jamais singé cette<br /> vache ruminante à la cervelle en ruine qui me servait de grand-mère !<br /> <br /> Non grand-mère je ne suis pas le petit fils “sage, doux et gentil” que tu crois. Je ne suis pas le reflet de ta déplorable image. J’ai<br /> joué le jeu du petit fils lisse, placide, ordinaire afin de ne point te déplaire. Mais surtout, parce que je n’ai jamais eu le courage d’affronter la montagne de nullités que tu incarnes. Cela<br /> me semblait au-dessus de mes forces de tenter de t’extirper de ton fumier atavique.<br /> <br /> Je me suis mis à ton niveau parce que j’ai toujours pensé que tu ne comprendrais pas le discours de l’intelligence.<br /> <br /> Mais cette année tu as eu 80 ans, aussi ai-je décidé qu’il était temps de te dire des choses essentielles. Donc pour la traditionnelle<br /> carte de “bons voeux sincères”, de “bonne sante” et toutes ces inepties qui vont avec, c’est raté !<br /> <br /> N’y songe plus, à partir de maintenant tu vas commencer à grandir mémé. Grâce à moi. <br /> <br /> Hé oui car contrairement à toi, moi je pense, je réfléchis, je suis sensible, pénétrant,<br /> courageux.<br /> <br /> Tu as 80 ans et avant que tu ne meures je te donne l’occasion de regarder la vérité en face.<br /> <br /> Au lieu de lire avec une satisfaction de concierge en déliquescence tes cartes de “bonne année” et de “voeux sincères” tu devrais plutôt<br /> t’occuper à envisager avec hauteur et courage la proximité de ta mort qui te délivrera, du moins je l’espère, de ta prison de vacuité.<br /> <br /> Ce que je t’aide à faire précisément à travers ces voeux d’un genre inhabituel...<br /> <br /> Tu vois mémé, tu vas mourir et contrairement à ce que tu espères, je ne pleurnicherai pas à tes funérailles et tu sais pourquoi ? Parce<br /> que ta mort mémé sera un événement banal, d'autant que nul ne se souviendra de toi en termes flatteurs. Tu n’as rien apporté d’autre à la société que l’exemple comique et désolant de l’inertie,<br /> de la puérilité, de l’inanité.<br /> <br /> Ton immaturité, ton insignifiance, la graisse de ton esprit atrophié sont des insultes à la beauté du monde.<br /> <br /> Ta vie de ménagère sans autre horizon que les cancaneries de voisinage ne fut qu’une pitoyable croissance de légume.<br /> <br /> Puisse cette lettre héroïque t’éclairer, te rendre ta dignité, te faire prendre conscience que tu es en réalité un être d’essence divine<br /> capable du meilleur et non ce navet stagnant du berceau à la tombe dans un potager humain.<br /> <br /> Bonne année 2012 mémé !<br /> <br /> VOIR LA VIDEO :<br /> <br /> http://www.dailymotion.com/video/xndkz7_lettre-virile-a-ma-meme-molle-raphael-zacharie-de-izarra_news<br /> <br /> <br />
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O
<br /> ta gueule !!<br />
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R
<br /> <br /> Il a des profondeurs océaniques, une densité presque palpable, un volume d'encre, la pesanteur d'un nuage.<br /> <br /> Et des légèretés d'oiseau. <br /> <br /> Ses ondes sont pénétrantes pour l'oeil, régénérantes pour l'esprit. Ses reflets pleins de sérénité ont l'éclat immatériel des songes. Ses hauteurs sont éthéréennes, sidérales, hymniques. C'est<br /> une fumée d'azur, une écume céleste, une ivresse pour l'âme : l'incarnation de la beauté toute intérieure. L'enchantement du poète, le paysage du méditatif, la lumière de l'artiste.<br /> <br /> C'est aussi la neige des couleurs : froid, pur, virginal, paisible, il règne dans ses éternels sommets. <br /> <br /> Écho du divin, brise de l'Eden, vernale pensée par excellence, le BLEU caresse l'Univers de sa lueur extatique.<br /> <br /> <br /> Raphaël Zacharie de IZARRA<br /> <br />
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O
<br /> on s'en fout zacharie machin<br />
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R
<br /> L'interview profonde<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Interview de Raphaël Zacharie de IZARRA par Noëlle Simono du journal “Le Monde” (édition du mercredi 12<br /> octobre 2011)<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Raphaël Zacharie de IZARRA, allez-vous enfin éclaircir le mystère embaumant votre personnage<br /> si fameux ? Les journalistes se perdent en conjectures à votre sujet. Vous répondez scrupuleusement à chacune de leurs questions et pourtant nul ne parvient à vous cerner tant vos réponses<br /> prêtent à maintes interprétations, toutes contradictoires... Personne n’arrive à vous situer exactement. A droite ? A gauche ? Sur la Lune ? Ici ? Là-bas ? Nulle part ? Quand allez-vous<br /> cesser de nous faire tourner autour de votre nombril, de votre particule, de votre Farrah Fawcett, de vos chères “vérités féroces” comme vous dites vous-même sur votre excellent blog<br /> IZARRALUNE ?<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Je suis très clair pourtant avec les reporters. Ce n’est pas de ma faute si ce siècle est aux demi-vérités, aux<br /> molles paroles, aux tièdes mythes. Voilà, je suis le défenseur de la veuve et de l’orphelin, même si personnellement je n’ai pas de particulière sympathie ou indulgence envers les indigents<br /> et les pupilles. Je suis également le défenseur des belles gens fortunés contre leurs ignobles bourreaux -je veux parler des pauvres ou prétendus tels- car fort souvent<br /> la veuve et l’orphelin se muent en loups. L’iniquité, la bassesse, l’injustice peuvent aussi habiter chez la veuve et l’orphelin (de génération en génération comme un système<br /> atavique ou bien passagèrement) et je ne vois pas en quoi la veuve et l’orphelin seraient moins condamnables que les porteurs de gants blancs.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Politiquement cela me place autant à droite qu'à gauche, hors des extrêmes. Mais la politique ne m’intéresse<br /> guère. L’image publique que je renvoie à mes lecteurs ne me préoccupe pas. Mais s’il fallait me situer sur ce plan alors je dirai que je suis autant de droite et de gauche car je prends ce<br /> que j’estime être le meilleur dans chaque parti et laisse de côté ce qui me semble plus indigne. En général ce qui représente le meilleur dans chaque parti, ce sont les valeurs partagées<br /> par les uns et les autres. Pas toujours mais presque. C’est aussi simple que cela pour ne pas dire simpliste, et cela a peu d’intérêt du reste.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Je ne comprends pas que l’on puisse à ce point être curieux à propos à mes postions politiques. Ma plume est<br /> beaucoup plus passionnante à étudier que mes opinions de citoyen, savez-vous.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Il est certain Raphaël Zacharie de IZARRA que votre art littéraire est admirable. C’est même<br /> la raison essentielle de votre omniprésence sur la planète LITTÉRATURE. Alors parlons lettres : vous régnez incontestablement sur le web des lettrés mais vous êtes également très<br /> controversé. Les uns contestent la légitimité de votre statut de “souverain de l’écrit”, d’autres crient à la supercherie, persuadés d’avoir affaire à un comédien et non à un être<br /> sincère...<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Ma particule parle pour moi. Je n‘ai rien à ajouter, rien à gagner, rien à perdre et n'ai pas à tenter de prouver<br /> quoi que ce soit à ce sujet. Ma particule est la plus éloquente des défenses, point.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Votre particule toujours et encore... Etes-vous sérieux Raphaël Zacharie de IZARRA ? (Sans<br /> se démonter –et là je le soupçonne d’avoir prévu son coup- il me sort comme par magie sa carte d’identité avec son nom, son prénom, sa<br /> particule...)<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Cela vous suffit-il ?<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Ce n’est pas ce genre de “preuve” que j’attendais Raphaël Zacharie de<br /> IZARRA...<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Peut-être mais c’est celle que je vous présente, vous vous en contenterez.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Où puisez-vous votre intarissable inspiration ? Dans les livres, au<br /> cin&ea<br /> <br /> <br /> <br />
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S
<br /> Ciel,mes bijoux!<br />
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W
<br /> Vintage Violence <br />
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C
<br /> assurancetourix au feminin<br />
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D
<br /> je suis sourd au secours<br />
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