Les plus beaux slows donnent des frissons, ils sont fait pour ça. Dans les années 1960, les Moody Blues sortent l'un des plus puissants slows de tous les temps : Night in White Satin. Ce carton mondial aurait pu vivre de son succès jusqu'au jour où Marie Laforêt en fit un massacre calculé. Besoin de tunes ? Folie passagère ? Jalousie longtemps contenue ? Nous attendons toujours l'explication de Marie sur ce geste horrible. Les ha ha ha ha ha ha sur la fin sont carrément inhumains.
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Effectivement, ce n'est pas la meillleure chanson de Marie Laforêt... Surtout que Nights In White Satin ne donnent pas Blanche Nuit De Satin si on<br />
traduit, ça serait plutôt Nuits de Satin Blanc...<br />
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Elle aurait mieux fait de s'abstenir, mais bon... A propos, la version des Moody Blues date de 1967... <br />
8 commentaires pour cette descente en flamme de Marie Laforêt... Et en lisant le blog de Mamie Vinyle, j'ai lu que tu comptais récidiver... Mais qu'est-ce qu'elle t'as fait pour que tu t'acharnes comme ça ?
j'en parlai justement sur mon blog ya peu de temps,<br />
entre 1966 et 1967 ne passaient sur les ondes que 2<br />
disques jusqu'à que mort s'en suivent = les moody <br />
blues bien sûr et juste après Procol harum dans <br />
a whiter shade of pale...Inlassablement; même dans les salons de coiffure et dans les chiottes !<br />
mais la seconde, marie "la chaise" n'a pas osé la <br />
reprendre, ca faisait ptéte un peu de trop ...<br />
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Mais ce n'était que partie remise par un autre, l'ami <br />
DASSIN nous rassasia avec son Amérique !<br />
faisant oublier totalement les créateurs de "yellow <br />
River" !
Non, mais moi aussi je respecte toutes les opinions, surtout si elles sont proches des miennes.Mais franchement, je la trouve pas si catastrophique que ça cette reprise. Les ah ah ah ah sont un peu inutiles, comme dans toutes les chansons.
Ah non ! Michel Berger, tant que tu veux, mais pas Marie Laforêt ! Elle chanterait l'annuaire, j'en serais toujours autant amoureux. Le texte n'est peut être pas génial, mais cette voix, cette présence, cette chaise (mais pourquoi est-ce que je ne suis pas cette chaise ?)...